
Mon histoire
“Avoir la foi, c'est monter la première marche, même quand on ne voit pas tout l'escalier”
(Martin Luther King)
Je pense que ces mots résument avec justesse comment j’ai décidé de me lancer dans cette aventure un peu folle à la conquête, reconquête, de mon “moi”.
En regardant mon cursus quelques années en arrière, je remarque qu’il n’a pas été si classique que ça. J’avais comme ce besoin de rendre “vivant” ce que j’étais en train de vivre. Il m’a fallu passer quelques années à l’étranger, au contact de personnes qui m’étaient autant opposées que complémentaires pour comprendre la richesse du lien humain.


J'ai eu besoin d'un "avant"...
Je m’étais dit, tu verras dans le marketing, tu trouveras ton “purpose”, la raison pour laquelle tu te lèveras le matin. Tu ne ressembleras pas à tous ceux qui poussent à la consommation sans même comprendre qui sont leurs interlocuteurs. Tu te battras pour des projets et des causes qui te tiennent à cœur et suivras son instinct où il te guidera. Malgré tous ces beaux mantras qui rythmaient ma vie, j’ai toujours pensé qu’il manquait quelque chose.
Mais finalement, qu’est-ce qui me plait ? Qu’est-ce qui m’anime dans mon métier que je pourrais transposer ailleurs ? Que puis-je faire pour me rapprocher encore plus de ce que je veux être ?
Qui suis- je ?
...pour avoir un "après".
Il a fallu un an de voyage en van, quelques milliers de kilomètres à cheval sur mon vélo et beaucoup de tourniquets intellectuels pour comprendre la direction vers laquelle je voulais aller.
Parce que finalement ce que j’aime, ce sont les gens. C’est vous comprendre, vous conseiller, vous accompagner, vous donner envie d’aller de l’avant et vous montrer que la vie n’est pas une tare, mais bien qu’elle mérite d’être vécue. Vous apprendre que si vous vous êtes perdus, c’est pour mieux vous retrouver. Vous déculpabiliser et vous féliciter pour ce que vous avez déjà réussi à mettre en place.
La naturopathie, c’est pour moi vous montrer que tout est possible à qui rêve, ose, écoute et n’abandonne jamais.
Par expérience, je peux vous assurer que le plus dur finalement, c’est bien de monter cette première marche.
